Rejoignez-nous pour une manifestation en faveur de Julian Assange ce dimanche 3 septembre à 14 heures devant l’Ambassade d’Australie à Paris.
Robin des Lois est cosignataire de « l’Appel de Paris ».
Rejoignez-nous pour une manifestation en faveur de Julian Assange ce dimanche 3 septembre à 14 heures devant l’Ambassade d’Australie à Paris.
Robin des Lois est cosignataire de « l’Appel de Paris ».
Depuis 5 ans, Robin des Lois soutient Julian Assange, toujours emprisonné près de Londres et menacé d’extradition vers les Etats-Unis.
Le Comité de Soutien Assange – dont Robin des lois est membre – organise ce lundi 3 juillet à La Maroquinerie (Paris 20) un concert de soutien à Julian Assange , en partenariat avec Anticor, Au Poste et Les Mutins de Pangée.
Outre la partie musicale (Arthur H, Amazigh Kateb et Serge Utgé-Royo), il y aura plusieurs prises de parole sur scène : Éric Alt, Eva Joly, Dominique Pradalié, Pacôme Thiellement…
La billetterie est ouverte, le prix d’entrée couvrant simplement la location de la salle :
Merci de nous aider à faire connaître cet événement important pour la solidarité avec Julian Assange en France.
Cordialement,
François KORBER
Le 11 avril 2019, Julian Assange était arrêté par la police Britannique dans l’Ambassade de l’Equateur à Londres. Après 7 années de réclusion à l’intérieur de cette Ambassade. Quatre ans après, le fondateur de Wikileaks est toujours emprisonné dans la prison de Haute Sécurité de Belmarsh avec des conditions de détention très dures. Il est, plus que jamais, menacé, d’un jour à l’autre, d’une extradition vers les Etats-Unis, o├╣ il serait – quasiment – condamné à vie.
Depuis 4 ans, Robin des Lois – et beaucoup d’autres – se sont mobilisés, en France et dans le Monde entier pour soutenir Julian Assange.
A la demande de John Shipton (père de Julian Assange), nous avons œuvré pour mettre en place un groupe de députés de tous horizons appelant le Président de la République à accorder l’asile (asile régalien) en France à Julian Assange. Avec, d’abord, une importante question orale de Jean Lassalle au Garde des Sceaux.
Juste avant de devenir Ministre, Eric Dupont-Moretti avait en effet clamé qu’il allait demander l’asile pour Julian Assange : https://www.youtube.com/watch?v=1b2HR4LscuU
On n’en a plus jamais entendu parler. Nous le lui rappelons régulièrement.
Emmanuel Macron a proposé l’asile de la France à Alexei Navalny et à la journaliste russe Marina Ovsiannikova, connue pour avoir brandi un panneau pacifiste en direct à la télévision. C’était sympathique mais sans danger de fâcher Vladimir Poutine puisque ces deux opposants ont poliment décliné l’invitation, préférant continuer leur combat sur place, en Russie. Une fois de plus, et inlassablement, nous exigeons que le Président de la République offre l’asile de la France à Julian Assange.
C’est le sens de notre présence, ce dimanche 16 avril 2023, à la manifestation organisée par le Comité de Soutien Assange à Paris, Place Saint-Michel, à 14 heures.
Avec tous les signataires de l’Appel de PARIS et, en particulier, nos amis d’Alertes.me.
François KORBER
Délégué général de l’association ROBIN DES LOIS
Depuis de nombreux mois et en partenariat avec d’autres acteurs (associations, journalistes, avocats, etc.) Robin des Lois agit activement pour obtenir l’asile politique en France pour Julian Assange.
Dernièrement, nous avons notamment lancé une pétition qui vise à rassembler le plus grand nombre de soutien pour demander à Monsieur Eric Dupont-Moretti d’agir dans ce sens.
Aujourd’hui Ministre de la Justice, Monsieur Eric Dupont-Moretti avait pris publiquement la défense de Julian Assange le 20 février 2020 pour réclamer au gouvernement l’asile pour son client.
N’attendez pas pour nous rejoindre dans ce combat, signez la pétition pour Julian Assange !
Au-delà de la pétition qui vise à rassembler un large soutien populaire et faire pression sur le gouvernement sur cette question, le combat pour Julian Assange nécessite des moyens financiers :
Nous avons besoin de votre aide pour poursuivre tout cela !
Vous avez la possibilité de soutenir notre action en faisant un don via le formulaire ci-dessous (don déductible à 66% de vos impôts).
Tout don, aussi modeste soit-il, nous aide grandement dans notre combat pour Julian Assange. D’avance merci !
Cette collecte de fonds est portée par l’association Alertes.me qui aide les lanceurs d’alertes et qui reversera à Robin des Lois l’intégralité des dons de cette campagne pour Julian Assange.
Cliquez ici si vous n’arrivez pas à voir le formulaire ci-dessous.
Dans le combat que nous menons avec méthode et acharnement pour imposer au Ministre de la Justice et au Ministre de l’Intérieur d’installer des urnes dans nos prisons afin de rendre effectif le droit de vote des personnes dénues, il y a eu beaucoup d’avancées depuis 6 mois . L ‘idée elle-même a progressé, en partie grâce à l’intérêt de nombreux journalistes, car nombre de personnes ignoraient que la plupart des personnes détenues conservent leurs Droits Civiques.
Nous avions déposé « un référé-mesure utiles » il y a 15 jours au Tribunal Administratif de PARIS pour tenter de contraindre les deux Ministres dont dépend la décision à prendre, en urgence, les « mesures utiles » afin de mettre en place ces bureaux de vote. Au moins pour les prochaines Elections Législatives puisque le délai est désormais trop court pour la Présidentielle.
https://robindeslois.org/wp-content/uploads/2017/03/Requête-avec-corrections-2.pdf
Reçus le lundi 13 mars par le Garde des Sceaux, notre « Collectif informel » a trouvé un homme ouvert et soucieux de mettre un terme à une situation incongrue. Il l’a d’ailleurs fait savoir par Communiqué officiel le mardi 14 mars dans la matinée. A l’audience du TA de PARIS du mercredi 15 mars, nous avons eu la stupeur d’apprendre que le scribe du Ministère de la Justice – auquel s’était rallié celui de l’Intérieur – avait déposé des Conclusions extrêmement réactionnaires, sur le mode connu : le système actuel fonctionne très bien . Il faut un certain cynisme pour écrire de telles inepties, sachant que seulement 1 % des personnes détenues susceptibles de voter ( 50 0000 environ) en sont concrètement empêchées par le système actuel, archaïque et inefficace. A la sottise s’est ajoutée la fourberie puisque ces Conclusions ont été envoyées au Greffe du TA le mardi 14 mars à 19 heures, à un moment o├╣ le Greffe est … fermé. Compte tenu des délai de traitement et de transmission, nous avons pris connaissance de ce pensum via nos téléphones mobiles (mails) à 14 heures 10 , à 20 minutes de l’ouverture de l’audience. Il contenait un moyen de Droit classique, mais éventuellement contournable par le Juge Administratif .
Un Juge des référés ne peut pas « tout faire » et, notamment, pas imposer à un Ministre des mesures d’ordre réglementaire ( décret , arrêté, etc). Nous condamnons énergiquement ces méthodes de voyou qui n’honorent pas les fonctionnaires responsables du traitement de ce dossier .
Nous avons appris que ce document – qui finira « dans les poubelles de l’Histoire »- n’avait pas été soumis au Ministre de la Justice. Les scribes de l’Administration étaient d’ailleurs ennuyés à l’audience, ayant l’air de dire que la parole du Ministre était « sans importance » … Nous verrons bien.
On peut lire ici, et télécharger l’Ordonnance, qui a fait l’objet d’un Communiqué sur le site du T.A. de PARIS, signe que la question est, désormais, considérée comme très importante.
Ce n’est pas dramatique … Juridiquement, c’est inattaquable : le Juge des référés n’a pas, ici, le pouvoir d’ordonner au Ministre de prendre une mesure réglementaire … Mais cette décision – diffusée par le TA de PARIS sur son site en raison de l’ importance du débat, elle ne préjuge en rien du bien- fondé politique et civique de notre combat actuel, reconnu par le Ministre de la Justice. Nous allons donc rechercher un autre angle d’attaque pour contraindre le – tout nouveau – Ministre de l’ Intérieur à prendre, par arrêté ou par décret, les mesures dérogatoires nécessaires pour permettre aux personnes détenues l’ exercice effectif de leur droit de vote.
A ce stade, que faut-il pour permettre aux personnes détenues de voter pour les prochaines Elections législatives ?
a) un décret ou un arrêté du Ministre de l’Intérieur dérogeant, notamment, à l’article R.40 du Code Électoral pour inviter les Préfets à : créer un nouveau bureau de vote dont le périmètre sera l’ Etablissement Pénitentiaire qui dépend de leur autorité. Ce texte doit également permettre aux personnes détenues de s’inscrire, par dérogation, sur la liste électorale qui sera ouverte dans l’Etablissement Pénitentiaire, et coordonner avec les Communes concernées la fourniture d’une urne et d’un isoloir.
b) une Circulaire du Ministre de la Justice ordonnant à son Administration de se concerter avec le Maires et le Préfet pour : recueillir les inscriptions sur la liste électorale nouvellement créée, faire rentrer une urne et un isoloir, recevoir la liste électorale du Bureau un peu particulier qui aura été créé, délivrer les permis de communiquer pour que les assesseurs et le Président du Bureau de vote puissent pénétrer dans l’Etablissement, et fixer un créneau pour voter qui ne crée pas trop de travail pour le personnel (vote, par exemple, entre 14 heures et 17 heures)
La Circulaire ne pose aucun problème. Le décret est un peu plus technique mais parfaitement réalisable au 15 ou 20 avril 2017
Nous allons prendre d’autres initiatives pour faire plier le Ministère de l’Intérieur.
Au pire, ROBIN DES LOIS envisage d’inviter les personnes détenues en détention provisoire à déposer massivement des demandes de mise en liberté provisoire auprès des J.L.D. (Juges des Libertés et de la Détention) notamment … pour aller voter aux quatre tours. La paralysie du »système » sera totale. Et, pour les personnes condamnées, de déposer massivement des demandes de permission de sortie auprès des J.A.P. ( Juges de l’Application des Peines) pour … aller voter aux quatre tours … Le « Système » sera, également, tout à fait bloqué aussi . Il s’agirait de démontrer par l’absurde que les règles actuelles (procurations et permission de sortie) sont absurdes et inefficaces. Nous demandons, toutefois, aux personnes détenues de ne rien faire pour l’instant et d’attendre , au moins, nos informations début avril.
Vote en prison: revers au tribunal administratif pour l’association Robin des Lois |
Paris, France | AFP | mardi 21/03/2017 – 19:19 | 236 mots Le tribunal administratif de Paris a rejeté mardi une requête de l’association Robin des Lois qui demandait au gouvernement d’installer des urnes en prison pour les prochaines élections présidentielle et législatives. Le juge des référés du tribunal, magistrat chargé des procédures urgentes, a estimé que la création de nouveaux bureaux de vote relevait de la seule compétence des préfets de département, selon un communiqué. Il a conclu que l’association de défense des droits des personnes détenues ne pouvait donc engager de procédure contre les ministères de l’Intérieur et de la Justice, comme elle l’a fait. Pour participer à un scrutin, les personnes détenues ayant conservé le droit de vote ont deux possibilités: établir une procuration ou obtenir une permission de sortie. Le tribunal administratif a noté que « l’exercice personnel de leur droit de vote par les détenus au sein d’un établissement pénitentiaire, sans pour autant créer des bureaux de vote, suppose, en réalité, le vote par correspondance qui n’est actuellement pas prévu par la loi ». L’association avait demandé au juge des référés de « contraindre l’État français à organiser, par tous moyens matériels et à sa convenance, l’organisation effective du droit de vote des personnes détenues ». A la dernière présidentielle, quelque 500 détenus avaient voté par procuration et 54 permissions de sortie avaient été accordées pour se rendre aux urnes, sur un total de 50.000 détenus ayant conservé le droit de vote, selon Robin des Lois. aue/jf/jcc ┬® Agence France-Presse |
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Av
Avec Sergio CORONADO, député EELV, Jean-Christophe MENARD (avocat au Barreau de PARIS) et François KORBER (association ROBIN DES LOIS, une passionnante réunion de Presse s’est tenue à l’Assemblée Nationale ce mercredi matin 9 novembre 2016. Quelques associatifs , et deux jeunes avocats pénalistes, Olivier ARNOD et Chloé ARNOUX, étaient présents, outre No├½l MAMERE venu apporter son amical soutien . Plusieurs modes d’action ont été propposés.
Nous reviendrons sur le plan de bataille qui a été présenté devant la Presse, tout en publiant de nombreux documents permettant de comprendre le dossier. Vous pouvez toutefois, déjà, lire un très bon résumé de cette réunion de Presse publié par PUBLIC SÉNAT
Egalement un article de Timothée BOUTRY dans le Parisien de ce mercredi 9 novembre 2016
Signez et faites signez la pétition pour une campagne civique sur Change.org !
C’est la meilleure façon de nous aider à mobiliser des citoyens qui, eux-mêmes, pourront peser sur leurs amis ou leurs élus.
https://www.change.org/p/des-urnes-en-prison
Il y a des moments, dans l’Histoire, o├╣ des hommes doivent se dresser contre l’Injustice. Et pas seulement « s’indigner » devant leur Journal ou leur écran. Lire la suite »
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Le premier procès des mutins de CHATEAUDUN aura lieu ce lundi 9 septembre 2013 au TC de CHARTRES à 13 heures 30
Pour des motifs de bon sens , il était impossible de juger tout le monde en même temps. Deux autres audiences sont prévues.
ROBIN DES LOIS avait soutenu et défendu Stéphane RAYE lorsqu’il a refusé de rentrer d’une permission de sortir car il refusait de rentrer de la drogue sous la contrainte de ceux qui « tiennent » le CD de CHATEAUDUN et y font régner la terreur. Pour nous, les Droits de l’Homme ne se divisent pas… Avec les mutineries des 20 et 21 août 2013 dans cet Établissement, il est devenu évident que nos analyses sont tragiquement justes. A défaut de fermer le « monstre carcéral » qu’elle a créé , l’Administration Pénitentiaire doit le restructurer d’urgence, pour en faire un Centre de Détention « normal ».
https://robindeslois.org/wp-content/uploads/2013/09/SR-libere.pdf